Après donc la tentative d’abstration à l’aquarelle en rouge, puis en orange, voici la bleue, toujours une copie simplifiée d’un de mes derniers tableaux à l’huile.
Comme pour les deux précédents, la recette est simple : un papier adéquat (le Velin d’Arches dont je ne me séparerai plus je crois), beaucoup de pigment, une superposition de couches en essayant de réserver des blancs pour apporter la lumière, un dosage de plus en plus savant entre les effets de fusion et les séchages intermédiaires.
L’exercice devient routine et même si l’effet de matière n’est pas reproductible et les nuances moins travaillées qu’on ne peut le faire à l’huile avec un couteau, le rendu me plait vraiment bien et la comparaison avec l’original est à la hauteur de mes espérances. Et en plus, c’est vraiment très agréable à peindre. On est bien sûr plus dans l’urgence, les possibilités de reprendre ou corriger restent quand même assez limitées, mais on a vite un résultat satisfaisant.
Qu’en pensez-vous ?
PS : pour retrouver tous mes tableaux sur un site bien classé, sans avoir à chercher dans le fouillis du blog, c’est ici.
J’en pense que du bien !! le bleu ! et ce noir si fort qui est le bienvenu … SUPERBE c’est drôle… en ce moment j’essaie un(peu)d’abstraction en bleu bien sûr ( dur! ) je te dirai le moment venu…
Merci Claudette et bonne continuation dans tes essais d’abstraction !
J’aime beaucoup, vraiment.
🙂
J’aime :
-1- l’oeuvre.
-2- ce que tu dis d’être contraint à faire vite, et si possible bien.
Et en plus y trouver un véritable plaisir, ce qui n’est pas toujours le cas à la peinture !