Après le bleu grec, le turquoise d’une ville imaginaire. Le thème reste toujours le même, un paysage urbain, mais la technique est différente pour chaque tableau. Ici, une zone très lisse au pinceau (le ciel transparent, sur une toile grise), des zones nuancées au couteau (la ville), et la zone de reflets, à nouveau assez uniforme, au couteau.
On ne retrouve pas grand chose de la Grèce, aucune île n’est heureusement ainsi couverte d’immeubles, mais la couleur n’est pas anodine…
PS : pour retrouver tous mes tableaux sur un site bien classé, sans avoir à chercher dans le fouillis du blog, c’est ici.
J’aime le camaïeu de bleus
… mais le rouge ne va pas tarder à revenir !
une manière de voir la ville originale, j’aime !