Trois photos de Chine prises en 2005, au début des grands travaux qui ont permis d’accueillir les athlètes des jeux olympiques et paralympiques dans des sites exceptionnels d’une ville moderne et « nettoyée ».
AVANT : un hutong à Beijing et une lilong à Shanghai
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APRES : la banlieue de Taiyuan
Alors ? Maisons insalubres, avec éviers dans la rue et toilettes publiques ?
Ou immeubles tout confort, avec eau, électricité et gaz à tous les étages ?
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euh franchement jepréfère la première et tant pis pour les commodités bizzz
Commentaire n°1 posté par oceanie67 le 26/09/2008 à 07h28
ça fait vraiment flipper cet avant après, Hélène…
Commentaire n°2 posté par venezia le 26/09/2008 à 09h41
Ca fait penser aux HLM construits après guerre qui étaient considérés comme un progrès social. a+ ApollineR
Commentaire n°3 posté par ApollineR le 26/09/2008 à 15h48
Quelle catastrophe et quelle perte d’identité pour un pays d’une culture aussi riche que celui-là !
Commentaire n°4 posté par Pescalune le 26/09/2008 à 18h10
Aïe ! Je savais que ça ferait mal en regardant les photos. Mais c’était tellement prévisible. Ce pays n’en a pas fini de courir après la « modernisation ». C’est triste. Kinoui
Commentaire n°5 posté par Kinoui le 27/09/2008 à 15h10
effectivement y a du changement!!
Commentaire n°6 posté par mom le 27/09/2008 à 15h19
J’ai évidemment forcé le trait en mettant en « après » cette photo d’une horrible banlieue de province. Je ne pense quand même pas que ce soit par ce genre d’immeubles qu’ils ont remplacé les hutongs démolis dans le centre de Pékin.
La question est quand même très délicate. Rénover ces habitations coûte très cher et les réserve donc ensuite à des nouveaux riches, repoussant de toutes façons les habitants actuels vers de lointaines banlieues. Habitants qui, dans un premier temps, ont été en majorité séduits par le confort que leur apportaient les immeubles modernes. Car les hutongs non rénovés sont quasiment des taudis, généralement humides (mais sans eau), sans parler de ces immondes toilettes collectives.
Quand on voit l’évolution de l’est et du nord parisien (expulsion, rénovation, bobo-isation), on ne peut qu’être pessimiste pour ces pays qui courent vers la « modernité ».
Réponse de Hélène H le 30/09/2008 à 18h52